s'est inquiété de l'avenir des investissements touristiques dans les zones rurales, constatant que le tourisme ne bénéficierait plus ni des crédits européens dans le cadre des nouveaux programmes opérationnels, ni des nouveaux contrats de projets Etat-régions, sauf de manière marginale à travers les contrats de massifs. Prenant note des économies que va permettre la fusion de BSV et de l'ANCV, il s'est dit préoccupé par les retards de paiement de l'Etat en faveur du tourisme social et associatif, soulignant l'importance des besoins de rénovation des équipements des colonies et centres de vacances.