Répondant ensuite à M. Philippe Marini, président, il a expliqué que le français était la langue de travail du groupe, notamment au sein du conseil d'administration et du Comex, indiquant toutefois que certaines réunions se déroulant en présence de non francophones pouvaient se tenir en anglais, qu'il a qualifié « d'esperanto » du monde des affaires. Il a souligné que la maîtrise du français, sans être imposée, était néanmoins « hautement conseillée » pour les principaux cadres de Total.