a ensuite abordé la question des actions spécifiques (ou « golden shares »), exprimant ses doutes quant à l'efficacité de tels dispositifs qui contribuent, d'après lui, à abaisser ce qu'il estime être la meilleure protection des entreprises contre les acquisitions hostiles, c'est-à-dire leur valeur boursière. Il a de nouveau exprimé sa satisfaction, en revanche, sur la règle de réciprocité figurant dans la loi relative aux OPA précitée.
Puis il a souligné l'importance de la stabilité du cadre juridique et fiscal pour les milieux d'affaires, déplorant par exemple les projets de taxation des « super-profits », évoqués de façon récurrente par certaines personnalités politiques. Il a également regretté la mauvaise image des entreprises et de leurs dirigeants en France, estimant qu'il convenait de changer certaines habitudes de nature à décourager les investissements.