Je me félicite que les rapports de l'office, qui dispose de beaucoup plus de temps que nous pour ses investigations, soient présentés devant notre commission, fût-elle ou non à l'origine de la saisine. La semaine dernière, un amendement a été voté lors de la discussion budgétaire en séance, sur les perturbateurs endocriniens : je regrette, dans le même esprit, que nous n'en ayons pas été informés en amont. Gilbert Barbier lui-même n'est pas au courant.
Oui, il faut travailler de concert en Europe, et même au-delà : une réglementation qui resterait franco-française serait, en la matière, sans grand effet.