Merci à M. Barbier de son exposé clair et pédagogique, qui nous offre, une fois n'est pas coutume, une véritable approche globale. Voilà encore un rapport de qualité du Sénat. Comment s'assurer qu'il ne reste pas, comme cela reste trop souvent le cas, sur les étagères ? Ceci pour dire que nous devrions veiller au suivi qui est donné à nos travaux.
Une question sur les cancers liés aux perturbateurs endocriniens : pourquoi n'avoir pas cité, à côté des cancers de la prostate et du sein, le cancer du pancréas, dont l'augmentation du taux de prévalence semble avoir les mêmes causes ?