a estimé que l'élaboration de ces nouveaux contrats s'effectuait suivant un calendrier serré et qu'une certaine souplesse devait prévaloir au niveau local pour leur signature, afin de ne pas confondre « vitesse et précipitation » et de laisser aux collectivités le temps d'élaborer un projet de qualité. En outre, il a précisé qu'il avait été demandé aux préfets de revoir la géographie prioritaire de la politique de la ville à partir de trois catégories de quartiers, donnant lieu à un financement plus ou moins important de l'Etat en fonction de leur degré de difficultés et a rappelé que la ministre avait précisé à ce sujet que ce classement n'était pour l'instant qu'indicatif. Il a jugé, conformément aux préconisations de la mission commune d'information, qu'une réflexion devrait s'ouvrir afin de tenir compte des évolutions intervenues depuis la définition du zonage.