a félicité le rapporteur pour avis d'avoir posé une nouvelle fois le problème central, à savoir le financement pérenne des infrastructures. Il a estimé que le législateur et le Gouvernement avaient deux ans pour inventer un nouveau système de financement. Soulignant que l'Etat dépenserait moins à l'avenir pour les routes, il a lui aussi évoqué l'éventualité de mises en place de péages routiers. Il s'est également alarmé de l'effondrement du fret ferroviaire en France, déclarant que celui-ci devait rester l'alternative principale au fret routier, même s'il ne fallait pas méconnaître l'importance du transport fluvial.