a interrogé M. Pierre Page sur les limites au développement du secteur indien des hautes technologies, des goulets d'étranglement pouvant provenir du sous-investissement dans les infrastructures -constaté dans ce pays à la différence de la Chine- mais aussi des difficultés de développement des ressources humaines, rappelant que le niveau de formation des « ingénieurs » indiens, en termes de nombre d'années d'études n'était déjà pas le même que celui observé par exemple en France.