a considéré qu'il n'y avait pas de logique économique à taxer le matériel, alors que les fabricants de téléviseurs ou de téléphones ne vont pas bénéficier des transferts de ressources liés à la suppression de la publicité sur l'audiovisuel public. Il s'est interrogé sur l'opportunité d'élargir l'assiette de la redevance aux ordinateurs et téléphones portables, alors que la plupart de ces appareils ne permettent pas encore de recevoir la télévision.