a rappelé que la proposition de suppression de la publicité à la télévision publique, qualifiée alors de douce utopie, avait été déjà formulée lors des Etats généraux de l'audiovisuel en 2000.
S'interrogeant sur les difficultés de financement et l'absence de concertation, il a affirmé que la redevance constituait le seul moyen pérenne, évolutif et juste de financer le secteur audiovisuel public, ce choix devant relever essentiellement d'une volonté politique. Cette perspective nécessite de mettre en oeuvre une véritable pédagogie à l'égard des citoyens, pour expliquer l'ensemble du champ d'action concerné. Par ailleurs, il a suggéré d'élargir l'assiette de la redevance aux nouveaux outils de réception des programmes audiovisuels.