a mis en cause les engagements financiers des chaînes publiques au profit de certains sports qui se révèlent particulièrement coûteux. Il a considéré que cette orientation ne relevait pas des missions figurant au cahier des charges du service public et que ce dernier devait privilégier la création française.
Il a précisé également que le caractère pluriannuel des contrats signés contraignait le groupe public à en assurer le financement.