s'est, sur ce point, déclaré convaincu que la mise en place de directions de recherche par objectif et sur appels d'offre, conformément aux orientations de la loi de programme pour la recherche adoptée le 18 avril 2006, serait à la fois moins coûteuse et plus performante que la création d'une structure administrative spécifiquement consacrée au dopage, telle que l'envisage le ministre des sports.
Il a également déploré que le retard pris dans la publication des décrets d'application de la loi relative à la lutte contre le dopage et à la protection de la santé des sportifs empêche l'agence récemment mise en place d'exercer l'ensemble de ses missions.
Il a enfin rappelé que la visite du laboratoire de Chatenay-Malabry par la commission avait laissé un souvenir mitigé, notamment quant à l'état des locaux et a souligné l'importance de la sécurisation des données informatiques.
Un large débat a suivi l'intervention de l'orateur.