a jugé que la démarche éthique suivie par la ministre et son souci de protéger l'ensemble de la population l'honorent, remarquant que si l'épidémie avait été plus grave, la position des pays qui ont décidé, comme la Pologne, de ne pas prévoir de vaccination aurait créé des problèmes importants.
Il a cependant regretté que les médecins n'aient pas été impliqués, dès le début, dans la campagne de vaccination, ce qui aurait sans doute facilité l'adhésion de la population et il a jugé inquiétante la campagne de dénigrement de la vaccination à laquelle on a assisté ces derniers mois.
Il a enfin déploré que les contrats de fourniture de vaccins n'aient pas prévu des tranches optionnelles qui auraient permis de mieux adapter aux besoins les quantités commandées.