a estimé que la question de l'expertise psychiatrique aujourd'hui suscitait de réelles difficultés. Il a notamment observé que le nombre de psychiatres diminuait de façon continue alors même que les missions qui leur étaient confiées ne cessaient de se développer. Néanmoins, il a relevé qu'en l'espèce, il ne s'agissait pas de confier une nouvelle mission aux experts psychiatres, mais de conforter un dispositif existant.