déplorant l'insuffisance des statistiques relatives aux personnes sans domicile fixe, a regretté que les initiatives des maires soient fortement contraintes dans ce domaine.
Evoquant le « travail gratuit », il a souhaité savoir si les compagnons d'Emmaüs, dont les revenus déclarés leur permettent d'être éligibles à la prime pour l'emploi (PPE), faisaient partie de cette catégorie.
Enfin, il s'est dit favorable au développement des contrats de professionnalisation, souhaitant également que les contrats aidés soient souscrits en priorité par les entreprises et non par les collectivités territoriales ou les associations qui ne sont souvent pas en mesure d'offrir un emploi pérenne.