a souligné que l'absentéisme à la Conférence de Genève aurait été la plus mauvaise des réponses. Elle a relevé qu'un certain nombre de conflits n'avaient pas été réglés à Genève. En particulier, elle a déploré la vive pression s'exerçant, dans les instances internationales, pour assimiler le culturel et le religieux, et a rappelé la nécessité que les pays occidentaux restent actifs et vigilants sur la question de l'universalité des droits de l'Homme. Elle a souhaité savoir si l'Union européenne avait été représentée en tant que telle ou si la conférence en était restée au strict niveau intergouvernemental.