a excusé l'absence de M. Jean-Pierre Plancade, co-rapporteur, et a posé un certain nombre de questions en leur nom commun.
Il a souhaité connaître l'opinion de M. Alain Fuchs sur les avantages et éventuels inconvénients du nouveau mode de gouvernance du CNRS, jusqu'ici dirigé par une dyarchie (président et directeur général), et sur l'articulation des fonctions de président-directeur général avec celles des directeurs généraux délégués.
Puis il l'a interrogé sur l'évolution de la coopération entre le CNRS et les universités.
M. Alain Fuchs étant membre de ParisTech, rattaché à Paris VI, établissement qui a fait l'objet d'une évaluation de l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (AERES) en 2009, M. Jean-Léonce Dupont a souhaité connaître son avis sur la réforme de l'évaluation engagée en 2007.
Relevant que M. Alain Fuchs était chimiste et donc spécialiste des sciences dites « dures », M. Jean-Léonce Dupont l'a interrogé sur la stratégie souhaitable en matière de sciences humaines et sociales.
Par ailleurs, il a souhaité connaître les suggestions éventuelles du candidat pour améliorer le rôle du CNRS en termes de valorisation des résultats de la recherche.
Enfin, et au nom de M. Jean-Pierre Plancade, M. Jean-Léonce Dupont a demandé à M. Alain Fuchs des précisions sur la façon dont il envisageait le management des équipes du CNRS, leur évolution et leur adaptation. De manière plus générale, il l'a interrogé sur sa conception de l'intégration de jeunes chercheurs dans des équipes parfois « établies » et sur l'organisation des carrières des uns et des autres au regard de l'écart générationnel qui semble se réduire.