Mes chers collègues, je me réjouis de votre présence à l'occasion de cette session extraordinaire imprévue durant la campagne sénatoriale. J'en profite pour saluer, avec émotion, ceux de nos collègues qui rejoignent notre commission pour la dernière fois -car ils n'ont pas souhaité revenir devant les électeurs- et les remercier de leur contribution à nos travaux.
Les circonstances sont exceptionnelles : nous allons entendre le rapporteur général sur un texte qui n'a pas encore été voté par les députés, sans avoir auditionné les ministres, retenus à l'Assemblée nationale.
Afin de parer à tout aléa, mieux vaut peut-être nous retrouver demain matin pour nous prononcer définitivement sur le texte transmis.