Saluant l'ouverture de nouveaux cas de recours au contrat de partenariat par le projet de loi, M. Gérard Longuet a rappelé que, si de mauvais arguments peuvent effectivement conduire à la conclusion d'un partenariat public-privé, il en existe également de bonnes raisons, à savoir :
- permettre une « massification des travaux », c'est-à-dire la possibilité de réaliser des travaux à une plus grande échelle ;
- bénéficier, dès le début du projet, des compétences techniques du partenaire privé ;
- rappeler aux contribuables qu'un investissement coûte bien plus à l'Etat ou aux collectivités territoriales que son coût initial et les frais financiers y afférents.