Observant que le terme de mondialisation était devenu le maître-mot et que toute personne qui doutait de ses bienfaits était jugée passéiste et « ringarde », M. François Fortassin s'est inquiété des risques courus par les entreprises de très nombreux secteurs qui, ayant exporté leurs technologies pour des gains de court terme, avaient créé à l'étranger les conditions d'une concurrence pouvant à long terme les conduire à leur perte.