a indiqué qu'il ne formulait aucune critique sur la gestion des fonds d'épargne, qu'il souhaitait maintenir une égalité de traitement entre les organismes HLM et que la Caisse des dépôts et consignations devait poursuivre sa mission d'audit et d'alerte sur les organismes. Il a reconnu que l'échec du logement social avait d'autres causes que son financement. Il a pris acte des dernières observations de la Cour des comptes sur la création d'un établissement public ad hoc, considérant que le point essentiel était la sanctuarisation des fonds d'épargne.
Il a jugé que l'Etat devrait également clarifier sa position sur la rémunération de sa garantie et consentir, sur ce point, à quelques sacrifices.