a estimé que le relèvement du plafond du livret A était une faculté dont le coût serait élevé et qu'il profiterait aux détenteurs les plus aisés. Il a indiqué que le rapport qu'il avait remis n'avait pas pour but de proposer des arguments nouveaux en faveur du recours de la France devant la Commission européenne mais, plutôt, « de faire, de nécessité, vertu » en utilisant cette occasion pour améliorer le financement du logement social. Il a précisé qu'il avait auditionné les bailleurs sociaux.
S'agissant de la question de la « déliaison », il s'est déclaré défavorable à l'enfermement des organismes dans la règle des 50 %, alors que de nouvelles formules de prêts peuvent être proposées par le secteur privé et qu'il n'y voyait pas de risque majeur.