C'est la raison pour laquelle, madame la ministre, je rejoins la position de la commission. Je pense, en effet, contrairement à certains qui proposent l'annulation pure et simple de cette directive, que l'Europe ne se construira que grâce au dialogue.
Je voterai donc la proposition de résolution présentée par la commission, laquelle demande l'abandon du principe du pays d'origine tant que les conséquences de ce principe n'auront pas été estimées.