a estimé que la proposition de « jardin d'éveil » avait pour ambition de faire prendre conscience à l'ensemble des partenaires de la nécessité d'adapter l'offre de garde aux besoins spécifiques des enfants de deux à trois ans. Elle a précisé que le terme de scolarisation n'était pas approprié à cette tranche d'âge, et que la suggestion du groupe de travail s'inscrivait comme une transition vers l'école maternelle.