La sécheresse actuelle montre que la DPA est un outil intéressant, mais l'obligation de réintégrer les sommes épargnées en cas de non utilisation est trop dissuasive et les plafonds multiples rendent le dispositif trop compliqué. Une piste d'amélioration pourrait consister à garantir des taux de prêts bancaires plus intéressants aux agriculteurs ayant choisi d'utiliser la DPA. En matière d'assurance récolte, il aurait fallu la rendre obligatoire.