Je souhaite formuler trois préoccupations principales.
La première concerne l'interconnexion avec les lignes à grande vitesse. Cette question deviendra cruciale si l'on réalise le TGV normand, car aucun raccordement ne semble prévu avec la Défense. Or, nous avons intérêt à ce que le Grand-Paris soit parfaitement connecté au réseau ferroviaire.
Ma deuxième préoccupation concerne le financement : comment sera-t-il supportable pour l'État, le STIF et les usagers ?
Enfin, j'ai l'impression que l'on a négligé les besoins de Paris en fret.