De même, M. Christian Pattyn, président de la « Ligue Urbaine et Rurale », a estimé que ces dépenses fiscales étaient légitimes, dans la mesure où il s'agit de compenser certaines contraintes spécifiques. Dans les secteurs sauvegardés, elles ont permis un renouveau des centres-villes : un plafonnement freinerait les efforts qu'il reste encore à accomplir en ce domaine. De surcroît, les crédits budgétaires dédiés au patrimoine rural et privé subissent une réduction drastique, au profit des grands monuments.