Relayant ces propos, M. Jean de Lambertye a insisté sur le maintien d'une juste hiérarchie entre les régimes applicables aux monuments ouverts ou non au public, afin de prendre en compte les servitudes propres à chacun. Relevant une diminution de 20 à 40 % des dotations des directions régionales des affaires culturelles (DRAC) par rapport à 2007, il a demandé qu'un état des lieux des engagements de l'Etat soit établi région par région.