ayant souligné le caractère éminemment subjectif de l'évaluation vénale des biens, M. Alain de La Bretesche a relevé, à cet égard, un manque préoccupant de contrôle sur les inspecteurs des impôts.
Il a considéré, enfin, que la réforme des jeux, rendue nécessaire en application des directives européennes, offrait l'opportunité d'instaurer, sur le modèle britannique, un prélèvement sur les recettes de la Française des Jeux, affecté à la politique du patrimoine, préconisé par la mission sénatoriale.