a exprimé ses doutes sur ce sujet, soulignant que les armées sortaient d'une décennie de sous-investissement. Il a indiqué qu'alors que la période dite de « la guerre froide » avait correspondu de facto à une période de paix, les armées devaient, à présent, intervenir sur de nombreux terrains, parfois peu connus d'elles. Elles avaient donc de fortes exigences de renouvellement de leur matériel à un moment où les responsables politiques pouvaient être tentés de diminuer leurs crédits. Il a néanmoins estimé possible de dépenser mieux les crédits alloués aux armées, citant l'exemple de l'externalisation de la maintenance des matériels, un groupe comme Thales pouvant, selon lui, intégrer en son sein les fonctionnaires actuellement affectés à ces tâches.