a constaté que les parlementaires demeuraient très majoritairement à l'origine des saisines.
Observant que la CNDS avait conclu, le 24 octobre 2008, une convention de fonctionnement avec le Contrôleur général des lieux de privation de liberté, il a souhaité savoir comment ces deux autorités se partageaient le contrôle des centres de rétention administrative et des établissements pénitentiaires.