La proposition du rapporteur général me paraît raisonnable.
Son amendement prévoit pour 2011 une dette des administrations publiques inférieure de 0,1 point de PIB aux prévisions du Gouvernement et de l'Assemblée nationale : je suppose que c'est pour tenir compte des 2 milliards d'euros d'économies sur les intérêts qui pourront être affectés à la réduction de la dette. En revanche, prévoir que la dette s'élèvera en 2013 à 88,6 % me paraît excessif : tout dépendra des remboursements que nous aurons à effectuer. Une estimation intermédiaire de l'ordre de 87,5 % me paraîtrait plus adaptée.