Je suis issu d'un département qui contribue beaucoup au FPIC. Ma position ne résulte donc pas de préoccupations locales. Je suis étonné de la manière dont cette histoire a fonctionné. Il est agaçant de savoir qu'on ne nous a pas fourni des simulations qui existaient si, comme l'affirme le ministre, ces simulations étaient déjà disponibles il y a trois semaines. Tout cela me rend perplexe sur mon vote sur l'amendement n° 53 rectifié.