On peut évidemment évoluer. C'est le principe de responsabilité. Je constate cependant que le consensus s'est effrité du côté de la droite et on voit bien qu'on est parti dans une bataille de la communication. Pourquoi la commission des finances serait-elle l'otage de ce délitement ? Si des sénateurs ont changé d'avis, c'est que des éléments nouveaux sont intervenus entre temps.
Je vous invite à repenser à ce qu'a dit notre collègue Alain Richard en séance, rien n'obligeait à faire une réforme de telle ampleur en loi de finances.