Répondant à une question de M. Philippe Marini, président, M. Nicolas Véron a confirmé que les entreprises allemandes, suisses ou scandinaves avaient une proportion plus élevée d'emplois dans leur pays d'origine, en moyenne, que la proportion correspondante de leurs ventes, ce qui n'est pas (ou moins) le cas pour les entreprises d'autres pays. Il a toutefois souligné que l'effet sectoriel était, de ce point de vue, encore plus important que l'effet de la nationalité. Puis, après une remarque de M. Aymeri de Montesquiou, il a confirmé la grande hétérogénéité des entreprises étudiées, insistant cependant sur la pertinence de la moyenne des données obtenues.