a résumé ces propos en relevant que la croissance de la part des investisseurs étrangers dans le capital des sociétés occidentales et françaises ne se traduisait pas, pour l'heure, par une modification réelle de la consistance économique de ces dernières, à l'exception éventuelle de « situations spéciales », telles que celle à laquelle se trouvait aujourd'hui confrontée une société telle qu'Euronext. Cette relative innocuité actuelle des investisseurs étrangers pourrait cependant ne pas se confirmer avec l'expansion du capital en provenance des pays émergents.