a souligné l'urgence d'une stratégie européenne, compte tenu de la probable augmentation à court terme des acquisitions par des entreprises asiatiques. Il a ainsi évoqué les maisons de titres chinoises, qui développaient actuellement une réflexion avancée sur de telles acquisitions, et les courtiers du même pays, qui débutaient la commercialisation de nouvelles gammes de fonds investis en actions, leur permettant, le cas échéant, d'acheter des blocs d'actions de sociétés occidentales.