En réponse, M. Henri de Castries a exposé que la « démocratie actionnariale », dans son esprit, ne pouvait être comprise, de façon valable, comme correspondant au seul principe selon lequel une action égalait une voix. Il a répété que l'exercice du droit de vote, au sein des assemblées d'actionnaires, devait faire l'objet de conditions destinées à proportionner ce droit à la durée de détention des actions. Il a justifié cette mesure par les différences d'objectifs qui séparaient les actionnaires de longue date et les autres.