Il a fait valoir que cette énergie présentait un double avantage tiré, d'une part, de sa flexibilité et de sa mobilité et, d'autre part, de l'utilisation de terminaux flottants situés à 10 kilomètres des côtes permettant de contourner des règles environnementales parfois trop contraignantes. Interrogé par M. Philippe Marini, président, sur les enjeux du développement du GNL en matière d'armement maritime, M. Gérard Mestrallet a fait valoir que la réunion des capacités de Suez et de Gaz de France donnerait naissance à la plus grande flotte de méthaniers du monde, rappelant à cette occasion que ces bâtiments, qui peuvent être exploités sous différents statuts juridiques, ont une valeur d'environ 250 millions d'euros pour une embarcation équipée.