s'est interrogé sur les frontières de la nationalité d'une entreprise, d'autant plus floues, selon lui, que la société était grande. Il a relevé que l' « enracinement » dans un territoire semblait en être une composante importante, et a illustré ce constat par les exemples des banques mutualistes, ainsi que par celui de LVMH, qui communiquait beaucoup sur l'image française du luxe, indépendamment de la localisation réelle de ses activités. Il s'est demandé si les différences de législation sur les alcools et spiritueux exerçaient un impact sur les implantations du groupe Pernod-Ricard, et s'il était désormais possible de concevoir une entreprise européenne.