a salué le plan d'urgence de 1,65 milliard d'euros mais a souligné que, plus que des prêts de consolidation qui viennent grever davantage les trésoreries des exploitations, la profession agricole souhaitait bénéficier d'une année blanche, se traduisant par le report d'une année de toutes ses échéances. Il a également noté que la nouvelle régulation attendue ne pouvait intervenir qu'à l'échelle européenne, plaidant en faveur de la mise en oeuvre d'une préférence communautaire fondée sur le mieux-disant environnemental. Enfin, il a regretté que la France ait choisi d'aller au-delà des normes de bonnes conditions agricoles et environnementales (BCAE) communautaires en imposant un objectif de 5 % de surfaces en particularités topographiques, et non 3 %.