a indiqué que les entreprises de l'agro-alimentaire étaient également en souffrance. Les comparatifs de charges sociales et fiscales montrent que la France supporte une charge de 44 % contre 37 % en Allemagne et 36 % au Royaume-Uni. En conséquence, les entreprises agro-alimentaires françaises se développent moins et sont plus petites que les entreprises allemandes. Elles souffrent également de la politique de l'euro fort. Enfin, le suivi par le ministère des affaires étrangères de l'accompagnement à l'internationalisation de l'activité n'est pas le plus adapté, et pourrait être repris par le ministère de l'agriculture. En effet, les débouchés de l'industrie agro-alimentaire sont aussi ceux des producteurs agricoles.