a fait part de la grande inquiétude des exploitants agricoles des zones de montagne concernant la PHAE et l'ICHN et, plus largement, sur la philosophie orientant l'agriculture vers la concentration des structures d'exploitation, impossible à réaliser en montagne. Par ailleurs, il a estimé nécessaire de réguler les conflits d'usage des terres agricoles, et a évoqué la possibilité d'un rachat public de terres agricoles en périphérie des villes, pour en conserver l'usage, assorti d'une contrepartie offerte au propriétaire désireux de valoriser sa terre en la transformant en terrain constructible.