La loi postale exigeait le maintien de 17 000 points de contact. Mais la présence postale a changé de nature. De fortes pressions ont été exercées sur les maires pour qu'ils acceptent la fermeture du bureau et son remplacement par un point de contact. Vous parlez de « négociation ». Où est la réalité ?
L'amplitude des horaires d'ouverture est sans cesse réduite : le public ne se rend plus au bureau de poste, craignant toujours de le trouver fermé. On organise la déshérence, pour ensuite justifier la fermeture. La présence postale ne se juge pas uniquement au nombre des points de contact. Quid de la qualité du service rendu ?