a évoqué les liens entre cybercriminalité et cyberterrorisme. Il a estimé que cette forme de risque était encore insuffisamment prise en compte et s'est demandé s'il ne fallait pas accentuer la formation d'enquêteurs et de juristes spécialisés, ainsi que l'harmonisation des législations des différents pays européens. Il a observé que les obligations de conservation des données imposées aux hébergeurs de sites internet, afin d'identifier les connections, étaient sans doute insuffisantes. Enfin, il a estimé qu'une organisation comme l'OTAN pouvait apporter une contribution utile à la lutte contre le terrorisme.