a évoqué des réflexions en cours sur les vecteurs français de la dissuasion nucléaire, qui met l'accent sur la composante sous-marine, et a souhaité recueillir le sentiment du chef d'état-major de l'armée de l'air sur ce point. Il a, par ailleurs, relevé qu'il existait en France 15 bases aériennes dépourvues d'aéronefs, ce qui pose la question d'un regroupement possible des bases aériennes et du point d'équilibre à atteindre en ce domaine.