a souligné, à propos de la jachère et des quotas laitiers, la variabilité des orientations données à la politique agricole, régulièrement remises en cause au bout de quelques années. Il a souligné la nécessité de moderniser les exploitations et de soutenir l'agriculture dans les zones de montagne et les zones difficiles. Il a en outre relevé que la hausse des prix des céréales était intervenue à un moment où les stocks étaient faibles, bénéficiant donc peu aux exploitants. Il a ensuite évoqué le problème des retraites des agriculteurs, rappelant que les promesses déjà anciennes de relever leur niveau minimum aux trois quarts du SMIC étaient encore loin d'être tenues.