Lors de votre déplacement au Brésil pour la prise de fonction de la nouvelle présidente, vous avez paru optimiste quant à la vente potentielle de Rafale à ce pays à un moment où nous avions plutôt l'impression que l'état-major brésilien repoussait l'achat d'appareils de nouvelle génération. Qu'en est-il aujourd'hui ?
Vous venez d'évoquer votre déplacement en Afghanistan. Vous aviez, lors de votre prise de fonction, repoussé toute décision d'achat ou de rénovation de drones MALE. Vous avez pu également voir le Harfang, avec ses qualités et ses faiblesses, et, à Kandahar, le concurrent américain, le Predator. Votre décision sera-t-elle rapide ?