a voulu savoir qui, avant la création de l'Institut de veille sanitaire (InVS) en 1998, avait la charge en France de l'évaluation des risques pesant sur la santé publique et l'alerte des pouvoirs publics. Puis il s'est demandé comment expliquer le retard pris par notre pays entre le moment de la connaissance de la toxicité de l'amiante et son interdiction en 1997. Il s'est enquis des conditions d'évaluation des risques induits par les matériaux de remplacement de l'amiante, en particulier les fibres céramiques réfractaires.