a apporté une réponse nuancée. Il a ainsi noté que les inspecteurs du travail pouvaient aller jusqu'à retirer son agrément à une entreprise de désamiantage mais que, quelques mois plus tard, cette entreprise pouvait réapparaître sous un autre nom. Il a estimé que les entreprises ne respectant pas la législation devraient être plus sévèrement sanctionnées. Il a ajouté que certaines entreprises faisaient travailler leurs salariés dans des conditions encore trop dures, notamment en termes de durée d'exposition à l'amiante.